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Kaëlen U. Rojas
Kaëlen U. Rojas
1ère Bachelor en médecine magique
Messages : 21

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Jeu 17 Oct - 21:55

Kaëlen U. Rojas
ft. Post Malone
↘ carte d'identité

Nom : Rojas, rappelle bien mes origines hispaniques, cela voudrait dire rouge et me viendrait d'un de mes arrières-grands-parents qui était roux + Prénoms complets : Kaëlen, vient de Kælir en Islandais et signifie glace, mon second prénom est Ugo et signifie l'esprit, la pensée + Âge : 21 ans, tout simplement + Date et lieu de naissance : Dans une ferme en bordure de mer, proche de Coatzacoalcos, au Mexique, de signe verseau, je suis né un 10 février + Situation familiale : Enfant unique de deux parents mariés, toujours bien vivants et toujours très aimants + État civil : Célibataire, vous connaissez la friendzone ? Je me conforte bien dans mon malheur sachez-le + Orientation sexuelle : Hétéro, aux dernières nouvelles en tout cas + Groupe : Laguz, comme la dernière apparence de mon Dieu + Dieu affilié : Xólotl, Dieu aztèque, associé aux phénomènes doubles, à la mort, mais surtout à l'axolotl + Don/Artefact : (À voir) + Année d'étude/Profession : Première Bachelor en médecine magique, après avoir essuyé un parcours très correct au sein de Teiwaz Othalaz et m'être ramassé un sacré mur en tentant d'étudier la médecine dans une université à Londres.

↘ caractère

Kaëlen est sans doute l'exemple même du mot « gentillesse », il répondra toujours présent lorsque quelqu'un à besoin d'aide, qu'ils soient amis proches ou non. Le jeune garçon pense que tout le monde a le droit de réussir dans la vie, à le droit au bonheur, à l'amitié, à l'amour et par conséquent à l'aide dont il a besoin pour atteindre ces idéaux. Ce qui est formidable avec Kaëlen, c'est qu'il n'attendra jamais rien en échange de votre part, croyant extrêmement fort au karma, Kaëlen sait que s'il répand l'entraide et le bonheur autour de lui, il pourra continuer de vivre sereinement, mais c'est sans doute parce qu'aider les autres lui procure un plaisir extra qu'il peut vivre avec l'aisance dont il fait preuve.

Tout est-il donc si rose ? Non, mais Kaëlen ne le montrera jamais. Si Kaëlen vit encore avec ses vieux démons, il pense qu'en persuadant les autres qu'ils n'existent pas, il finira par se persuader lui-même. Mais il existe bien une part plus sombre de son âme. Un part qui se souvient de sa mort et de sa vie d'avant. Une vie de harcèlement et de complexes, de timidité et d'enfermement. Mais l'heure de la mort de Kaëlen lui a appris que la vie était bien trop courte que pour se laisser faire, mais surtout bien trop courte que pour détester et déverser sa haine sur les personnes qui nous ont fait du mal. Il est pour lui, de toute évidence que haïr quelqu'un demande bien trop d'énergie et qu'il existe beaucoup de choses bien plus belles dans lesquelles s'investir.

Le jeune Rojas, bien que serviable, ne s'investit pas pour autant dans ses amitiés. S'il répand au quotidien joie et bonne humeur, s'ouvrir aux autres et leur faire part de ses sentiments et de ses problèmes est bien plus difficile. Il est une véritable coquille d'or difficile à percer et à cerner. Rares sont les personnes qui peuvent réellement dire : « Je connais Kaëlen ».

Il est difficile de faire du mal au brun puisqu'il donne toujours sans jamais attendre en retour. Impossible donc de le décevoir. Une force en un sens, mais une grande faiblesse puisqu'il se retrouve profondément seul. On ne peut pas dire que personne ne l'aime puisqu'il est typiquement le personnage sur qui tout le monde peu compter, mais personne n'est réellement proche. Il s'agit du système de défense que Kaëlen s'est créé. Être autonome, ne jamais compter sur les autres et surtout, ne rien attendre d'eux. Une vision bien pessimiste de l'aspect relationnel.

L'amour ? Il n'est même pas la peine d'en parler à Kaëlen. S'il aime, de tout son cœur et de toute son âme, il a, à nouveau, de bien trop nombreuses fois été déçu et rejeté. Parfois, on pourrait croire que la seule personne à qui il aurait été capable d'accorder son amour et sa confiance était Rosaline. Il n'a jamais connu le grand amour, ni le petit d'ailleurs. Mais il ne s'en plaint pas.

Kaëlen paraît autant pour une personne studieuse que pour une personne qui sait s'amuser. Il aime expliquer aux autres, mais déteste travailler en groupe. Il ne refuse jamais les soirées ou les sorties qui lui sont souvent proposées. Les gens l'apprécient, mais il ne s'en rend pas compte ou plutôt, il le dénie totalement par peur de faire confiance, d'être moqué, de la perte et de la fausseté des gens. Kaëlen n'a de toute évidence aucune réelle vie relationnelle, aucune amitié à entretenir et par conséquent beaucoup de temps à consacrer à travailler sur son avenir.

En bref, Kaëlen est une personne centrée sur elle-même, présente pour les autres, solitaire, appréciée, studieuse, autonome et renfermée.

↘ premier contact

La chaleur humaine ne m'avait jamais autant manquée que ces dernières heures. C'était étrange, être mort. Si je n'en avais aucun souvenir, aucune sensation restante, un frisson ne cessait de parcourir ma colonne depuis l'instant où je m'étais éveillé dans cet étrange caisson.

Mon père d'un côté, ma mère de l'autre. Cela faisait bien des années que je ne m'étais pas endormi à leur côté. Sans doute parce que j'avais passé l'âge depuis longtemps. Mais leur présence, leur chaleur à mes côtés de m'avait jamais parue aussi douce et précieuse.

Je fermai les yeux sans crainte, sans même penser que je pourrais ne plus jamais les rouvrir.

Cette nuit-là, j'ai rêvé d'elle, j'ai rêvé de Rosaline. J'ai rêvé de moi. C'était étrange à dire, je nous voyais à travers ce fin filet d'eau. Ce devait être la première fois que je rêvais mais que je n'étais pas dans mon corps.

Rosaline était belle, ses cheveux blonds flottaient dans le vent, ses petites bottines étaient posées au bord de l'eau, nous parlions, mais seul un bruit sourd parvenait à mes oreilles. Elle plongea sa main dans l'eau et instinctivement, je vins m'y poser.

Je me souvins alors de ce jour et je l'entendis :

« La légende raconte que Xólotl, après s'être transformé en épi de maïs, mais retrouvé, se transforma en axolotl. Et depuis ce jour, plus personne ne l'a jamais revu. »

Xólotl fuyait, fuyait toujours, comme j'avais toujours fuit.

Ma vision devint soudain trouble et s'arrêta sur une vue aérienne. Je vis mon corps, au sol, sans vie. Le sang se mêlait à la boue. Un homme arriva, paniqué à travers le champ. Je le reconnus. C'étais le père de Rosaline. Il répétait sans cesse d'étranges paroles que je ne pus comprendre. Il suppliait, levait les mains au ciel. J'entendis à maintes reprises le nom de Xólotl, ce dieu disparu.

Mon esprit tomba alors lourdement jusqu'à mon corps. Tout devint noir.

J'étais à nouveau dans mon corps, assis à côté de la jeune Rosaline. Ses lèvres tremblaient, sa main caressait mon visage blessé par les coups.

« On dit que les axolotls ont la capacité de refaire pousser leurs membres. Et qu'ils ne peuvent pas attraper de cancer. »

Je me réveillais brusquement. J'étais seul dans le grand divan du salon. Je portais ma main à mon cou, non, ce n'était pas seulement un rêve, l'énorme cicatrice boursoufflée était toujours là.

Un seul nom revenait à mon esprit. Xolotl.
derrière l'écran
Twiggy | Noémie
Quel âge as-tu ? 20 ans Comment es-tu arrivé jusqu'à nous ? Magie ? Comment trouves-tu notre forum ? Absolument merveilleux et je dis pas ça parce que je suis la fondatrice  You're a Sunflower + Kaël 2502448352 A quelle fréquence penses-tu nous rendre visite ? JAMAIS  You're a Sunflower + Kaël 2578629513  Un petit mot pour la fin ? Hâte de vous présenter mon Kaëlen


Le garçon qui avait ressuscité
« Il court, il court le furet ! », hurlait une voix derrière moi. Cette voix braillarde et mordante, cette voix que j'avais trop souvent entendue m'insulter, me pourchasser, me critiquer. Cette voix, c'était celle de mon agresseur, suivie des rires idiots de ses deux moutons d'amis.

Mes pieds martelaient le sol le plus rapidement possible. Les épis de maïs me fouettaient le visage au fur et à mesure de ma course. Cela faisait bientôt vingt bonnes minutes que je fuyais dans ce champ, espérant échapper à ces trois garçons. Je sentais que mes jambes faiblissaient et que ma respiration haletait de plus en plus.

« Et bouffon arrête-toi avant de faire une crise cardiaque », lança à nouveau une voix derrière-moi.

J'étais gros, potelé, bedonnant, ventripotent, ce qui me justifiait toutes ces insultes et ces traitements atroces pour beaucoup de personnes. Je n'avais que peu d'endurance, il était donc plus que facile de me rattraper lorsque je courais, mais surtout, j'étais incapable de me défendre de ces coups envoyés lorsque j'étais essoufflé.

Je sentis le sol se dérober sous me pied et mon visage rencontra bientôt la terre humide. J'entendis leurs pas s'approcher et s'arrêter à ma hauteur.

« Toujours aussi incapable de courir. J'aurais presque pitié. », cracha une voix juste à côté de mon oreille.

C'était la fin de cette course, encore une fois, je n'avais pas pu leur échapper, encore une fois, cette course se finirait par des coups de pieds envoyés dans mon ventre, mon torse et ma tête, jusqu'à ce que je finisse par en perdre connaissance. Je tremblais de peur et de rage. Ma tête s'enfonça sous un pied dans la boue, avant d'être soulevée vers l'arrière par mes cheveux. Je sentis alors une drôle de sensation sur mon cou, quelque chose d'étrangement froid frôla ma gorge avant de l'entailler brutalement. Du sang remonta dans ma bouche, je toussais et m'étouffais en même temps.

« Les gens comme toi, on n'en veut pas ici. », fut la dernière phrase que j'entendis, puis leurs pas rapides s'en aller, laissant mon corps salit et ensanglanté dans ce champ de maïs.

Je fermai les yeux. Et je l'entendis, cette voix douce à mon oreille. Rosaline, c'était la voix de Rosaline.

Je m'en souvenais comme si c'était hier. Ses cheveux blonds comme le soleil, ses yeux bleus, sa douceur et son parfum de miel. Rosaline était la fille de l'apiculteur qui travaillait à côté de notre ferme. Nous étions à l'école ensemble.

Je la voyais, assise sur la berge, jouant avec un épi de blé entre ses doigts. Ses yeux caressaient mon visage, nous étions jeunes et innocents.

Elle regardait l'eau claire à nos pieds et y plongea sa main. Elle pouvait rester immobile des heures en attendant qu'une ces drôles de salamandres vienne s'y blottir.

« Kaëlen, tu ne peux pas te laisser faire par ces garçons... », sa voix était si douce, si pure. « Je te protégerai corps et âme jusqu'à mon dernier souffle », avait-elle ensuite promis.

Nous avions 10 ans, c'était un an avant que Rosaline ne soit emportée par une méningite foudroyante.

Rosaline fut et était, ma seule amie.

Je m'appelais Kaëlen, j'étais le fils unique de deux paysans braves et généreux. Je m'appelais Kaëlen, j'étais la risée de tous les autres garçons de mon village. Je m'appelais Kaëlen et j'étais mort à 15 ans, 5 mois et 3 jours.

*
*  *

J'ouvris brutalement les yeux. L'air entra dans mes poumons, me brulant, comme si je n'avais pas respiré depuis des jours. Ma gorge et ma bouche étaient sèches. Autour de moi, le noir absolu. Je tentais de bouger, mais l'endroit où je me trouvais était bien trop étroit que pour que je puisse déplacer un seul de mes membres. Je voulus crier, mais j'en étais incapable. J'étais coincé. Je commençais alors à taper contre les parois qui m'entouraient, cela dura ce qui me sembla être une éternité.

Quand soudain, le compartiment dans lequel je me trouvais sembla glisser doucement. Une lumière blanche brusqua ma vue. Je cachais mon visage avec ma main. Un homme vêtu comme un médecin était penché au-dessus de mon corps et semblait presque terrorisé de me voir. Je vis ses lèvres bouger, mais ne compris pas tout à fait ce qu'il disait. Des acouphènes infernaux me brouillaient le cerveau. Je voulus me redresser, mais tombait du support où j'étais posé. Mon corps nu rencontra le carrelage glacé et pour la première fois, le froid de la pièce me frappa.

J'observai autour de moi, de nombreux casiers étaient disposés le long du grand couloir, mais surtout, une odeur de mort me pris au nez. Plusieurs autres médecins accoururent et m'aidèrent à me relever. Ce n'était que bien plus tard que je compris qu'ils n'étaient pas médecin.

Ils m'emmenèrent dans une pièce un peu plus chaude, me couvrirent de plusieurs couvertures et me servirent à boire et à manger.

« Et bien, je dois avouer que ce n'est pas tous les jours que nos patients se réveillent », me confia l'homme qui avait ouvert mon casier.

La morgue, je m'étais réveillé à la morgue. Je me souvins alors des épisodes précédents et portaient une main à mon cou.

« C'est assez surprenant de voir la façon dont votre blessure s'est cicatrisée. Je n'avais jamais vu cela auparavant. », me confia-t-il. « Monsieur ? », me questionna-t-il en attente de mon prénom.

J'ouvris la bouche, mais aucun son n'en sortit. Je tendis alors le doigt vers une feuille et un pot rempli de stylos posés sur le bureau un peu plus loin. Il comprit alors et me les apporta.

J'écris, les mains tremblantes : KAËLEN ROJAS.

L'homme en face de moi me sourit. Il me questionna alors sur mon âge, sur mes parents. Il me demanda s'il pouvait les appeler, je hochais rapidement la tête. Il s'exécuta. J'entendis la voix de ma mère inquiète à l'autre bout du fil.

« Madame Rojas ? Oui, je m'appelle Pedro Lorelan. Je travaille à la morgue de l'hôpital de la commune. », j'entendis la voix affolée de ma mère prête à fondre en larmes, « Je dois vous avouer que la situation est assez peu... Ordinaire. Votre fils Kaëlen est avec moi. Enfin si vous pouviez venir le chercher... Oui... Non... Oui... Votre fils est vivant madame. Je pense que vous l'expliquer en face à face, serait préférable... Ah oui, et prenez-lui des vêtements... Si possible. », Pedro avait l'air particulièrement mal à l'aise.

Quelques dizaines de minutes plus tard, mes parents étaient là. Ils me prirent dans leur bras, nous étions tous trois en larme. Leurs bras chauds autour de mon corps ne m'avaient jamais semblé aussi aimant et aussi doux. J'aurais voulu que jamais cette étreinte ne s'arrête.

Pedro expliqua en long et en large tout ce qu'il savait à mes parents. Nous repartîmes tous trois quelques heures plus tard. Effrayés, mais soulagés à la fois.

Le soir même, la maison était étrangement calme. Nous étions assis dans le salon. Je ne savais toujours pas parler, mais je n'en avais pas besoin. Mes parents étaient prêts de moi. Nous dormîmes dans le salon, blottis les uns contre les autres. Ce fut cette nuit-là que je compris pourquoi j'étais encore là.

*
*  *

Xólotl était devenu mon Dieu bien des années auparavant, lorsque Rosaline était partie. Rosaline était une fille particulièrement intéressée à la nature, et particulièrement par la faune aquatique de notre pays. Plus jeune, nous observions au bord des marais pendant de longues heures les axolotls nager dans l'eau. Elle arrivait parfois à les caresser, comme si elle obtenait leur confiance. Rosaline était patiente, douce et aimante.

Xólotl était tombé dans un champ de maïs, avant de disparaître sous sa forme d'axolotl. Ce jour là, dans ce champ, Xólotl était à mes côtés. Comme les axolotls, ma blessure s'était résorbée. C'était ainsi que j'avais retrouvé la vie.

Quelques semaines plus tard était apparue une drôle de lettre, me convient dans une drôle d'école. Mes parents comprenant que je ne souhaitais plus être scolarisé dans notre commun, m'accompagnèrent jusque là. L'Islande était loin, mais l'école était particulièrement convaincante. Mes parents croyaient aux miracles et à la magie depuis ma mort. Lorsqu'ils apprirent tout le pourquoi du comment, ils acceptèrent immédiatement de m'envoyer là où je serais le mieux.

Je vécus les meilleures années de ma vie à Teiwaz Othalaz. Beaucoup était au courant de mon histoire, on chuchotait le garçon qui a ressuscité. On me demandait souvent à quoi ressemblait la mort. Mais je ne savais que répondre. J'avais soif d'apprentissage et de connaissance, j'étais un très bon élève.

Après trois ans, mes parents décidèrent d'abandonner la ferme au Mexique pour venir s'installer à Reykjavik pour être plus proche de moi.

Je me fis tatouer de nombreuses fois, notamment pour cacher cette énorme cicatrice qui jonchait mon cou. Même si j'étais bel et bien vivant, il m'arrivait encore de me sentir proche de la mort. Un frisson me parcourait le dos jusqu'à ma mâchoire et tout devenait sombre.

En sortant de l'école, je décidais de passer l'examen de médecin dans une université à Londres, l'examen se passa très bien, mais je ne fus malheureusement pas à la hauteur des attentes des humains.

C'était pour cette raison que je me retrouvai à nouveau à Teiwaz Othalaz. Il fallait que je me rende à l'évidence. C'était ma maison, ma deuxième famille.


Dernière édition par Kaëlen U. Rojas le Mer 30 Oct - 23:08, édité 5 fois
Ivar Strømson
Ivar Strømson
Bibliothécaire
Messages : 49

You're a Sunflower + Kaël Empty Re: You're a Sunflower + Kaël

Jeu 17 Oct - 23:15
OLALA. (re)coucou toi You're a Sunflower + Kaël 2578629513

il me taaaarde d'en apprendre plus sur ton beau Kaël You're a Sunflower + Kaël 2363086424 You're a Sunflower + Kaël 2363086424
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You're a Sunflower + Kaël Empty Re: You're a Sunflower + Kaël

Ven 18 Oct - 22:10
J'adore ton avatar You're a Sunflower + Kaël 743152657
Kaëlen U. Rojas
Kaëlen U. Rojas
1ère Bachelor en médecine magique
Messages : 21

You're a Sunflower + Kaël Empty Re: You're a Sunflower + Kaël

Sam 19 Oct - 16:27
Merci les copains You're a Sunflower + Kaël 743152657
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You're a Sunflower + Kaël Empty Re: You're a Sunflower + Kaël

Mer 23 Oct - 15:27
Ah bah tiens, enfin là ce petit mystère You're a Sunflower + Kaël 1089047076
Kaëlen U. Rojas
Kaëlen U. Rojas
1ère Bachelor en médecine magique
Messages : 21

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Jeu 24 Oct - 20:08
Et ouiii c'est moi You're a Sunflower + Kaël 2367317488
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