the universe I know left me in pieces ▼ ivar
- Ivar StrømsonBibliothécaire
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the universe I know left me in pieces ▼ ivar
Ivar Strømson ft. Andy Biersack | carte d'identité Nom : Strømson. "Le fils de la Puissance" en voilà un nom bien modeste. Tu le portes ni avec ni sans fierté. Ce patronyme, tu ne t'en soucis guère. Il te relie simplement à une famille puissamment destructrice. Prénoms complets : Ivar. Ton unique prénom. Le même que ce chef viking à la poigne de fer, craint et respecté mais peut-être un peu fou. + Âge : 29. Voilà 29 ans que tu es là, essayant tout de même de trouver un sens à tout ça, tout ce qui t'arrive. + Date et lieu de naissance : C'est à Viborg, au Danemark que tu as vu le jour, le 7 février 1990. + Situation familiale : Un père banquier, traînant dans des histoires de mafias, rapportant bien trop d'argent que son poste de banquier n'aurait dû. Une mère au foyer, bonne sous tout rapport, une mère présente et aimante pour ses enfants, mais cette mère n'existait qu'aux yeux du voisinage. Deux frères aînés, de vrais hommes, virils, durs, qui reprendront sûrement les affaires douteuses du paternel. Une sœur cadette, bien trop pure, trop douce pour la noirceur de cette famille, une sœur qui a le droit d'être fragile et calme parce qu'elle, c'est une fille. + État civil : Célibataire. Aucune personne saine d'esprit ne souhaiterait vivre une histoire d'amour avec un être comme toi, tu le sais, tu en es persuadé. + Orientation sexuelle : Pansexuel à tendance sapiosexuel mais sûrement aromantique. Le genre, l'orientation, l'identité sexuel... Tu n'en as que faire. Tu n'es certes pas capable de tomber amoureux, mais tu es capable de chérir et d'aimer des courbes le temps d'un soupire. Peut-être plus longtemps si l'intellect de ta proie t'as fait frissonner de savoir, de plaisir... + Groupe : Dagaz. + Dieu affilié : Skuld. Elle t'a choisi. Elle, la plus jeune des Nornes de la mythologie nordique. Elle, celle qui voit ce qui est à venir. Tu ne sais pas, tu ne sais plus vraiment si être l'élu de l'Avenir est une bénédiction ou une malédiction... + Artefact : Fremtid, ce mamba noir qui t'accompagne tout le temps. Offert par ta déesse, le serpent agit par sa propre volonté ainsi que par celle de Skuld. Lorsque cette dernière le décide, Fremtid vient te mordre. Sa morsure te permet de voir ce qui est à venir. + Profession : Bibliothécaire. Gardien des savoirs anciens. Ou simple berger des futurs connaissances de ces brebis hagardes que sont les élèves de l'école. caractère Des mots silencieux. Des regards bruyants. Une âme brillamment sombre. Funeste. Déjà enfant, tes yeux clairs étaient vides, ton âme clairvoyante. Tu faisais peur aux autres chérubins. Personne ne voulait jouer avec toi. Qui le voudrait ? Encore maintenant, tu continues de donner de langoureux frisson qui parcourent l'échine de ceux qui osent un peu trop s'approcher de toi. Intriguant. Une brebis perdue aura sûrement la curiosité de s'approcher de cette caverne que le noir englobe. Elle n'y verrait que deux yeux perçants, scintillants de douleur. Elle serait inévitablement attirée. Elle ne se rendrait compte que bien trop tard l'erreur. Elle ne comprendrait que lorsque les crocs du serpent se referment sur son cou. C'est souvent ce qui arrive lorsqu'une âme égarée ose s'approcher de toi. Peut-on le reprocher ? Non. Ton silence, ton aura, tes regards intriguent. Comme une douce mélodie mélancolique, on ose se laisser charmer par le serpent. Taciturne. Des questions peuvent se poser, des langues acerbes peuvent s'agacer, des choses à ton propos, on en dit. Tu les entends, tous autant qu'ils sont. Cela ne t'a jamais atteint. Ils n'auront jamais le même impact, la même puissance que les paroles venimeuses de ta mère. Alors tu préfères garder ce silence froid et pourtant apaisé. Quand l'Avenir vous a choisi, le temps est une entité qui prend une toute autre forme, une toute autre direction. Alors à quoi bon le gâcher à parler pour ne rien dire ? Tu préfères discuter quand c'est réellement nécessaire. Doux. Le visage fermé. Le regard jugeur. Les traits sévères. Tu parais si méchant, comme si tu avais l'empathie d'un glacier. Mais tu t'en fiches un peu. Ce n'est même pas pour te déplaire, d'ailleurs. Alors oui, certains élèves ont peur de toi, mais ceux qui se complaisent dans le savoir et les livres savent réellement que ton âme noircie est paradoxalement douce. Il n'y a pas un élève que tu as refusé d'aider, d'écouter, de guider depuis ton arrivée. Les rares personnes qui te côtoient et que tu apprécies en sont conscientes. Et malgré une franchise légèrement dérangeante, tu restes protecteur comme les Nornes avec l'Arbre-Monde. Insatiable. Non pas friand de pouvoir, tu es sans cesse assoiffé. Aucune source n'a jamais réussi à te contenter. Tu restes creux, essayant encore et toujours de nourrir ces choses qui grondent en toi et qui en veulent toujours plus. La première chose qui gronde est le savoir. Les livres sont ton refuge. Les mots qui glissent sous tes yeux ont toujours été source d'excitation pour l'homme que tu es. Mais il n'y a pas que ça. Oh, non... Les émotions. Elles sont là. Partout autour de toi. Comme des vents violents, elles te secouent dans tous les sens. Tu aimerais ne pas tant ressentir les choses. Et pourtant, elles ne veulent pas te quitter. Elles restent là, te dévorant et creusant un peu plus ce vide dans ton âme. |
premier contact 1998, le Monstre. Tu as huit ans. Mads hurle. Il ne s’arrête pas. Ses coups de poings ne s’arrêtent pas non plus. Ses copains sont autour de vous. Ils crient. Ils l’encouragent. Mads s’énerve encore plus contre toi. “Regarde moi, le Monstre !” Tes yeux sont rivés sur le sol. Tu sens le sang couler doucement sur ton visage. Tu as mal mais tu n’arrives pas à extérioriser quoi que ce soit. “C’est toi ! C’est toi qui l’a fait !” Tu hoches simplement les épaules. Ton regard clair se pose dans celui de Mads. Il hésite un instant, frémissant. Il n’aime pas quand tu le regardes. “Ce n’est pas moi. Je te l’ai déjà dis. - MENTEUR ! - LE MONSTRE !” Une larme vient se mêler au sang qui commence à sécher sur le coin de ta bouche. Tu ne mens pas. Ce n’est pas toi qui a tué le chien de Mads. Hier, tu l’as prévenu que Gutz allait mourir, tué par un chasseur. Tu l’as entendu dans tes rêves. Tu le sais. Tu n’es pas fou. 2008, le Porte-Malheur. Tu as dix-huit ans.Le soleil hivernal peine à faire fondre la neige. Pourtant, c’est ce soleil que tu chéris le plus. Ce matin, tu t’es réveillé avec un sourire nostalgique aux lèvres. Assis à la table de la cuisine, ta sœur te parle. Comme d’habitude, tu ne fais que l’écouter, lui souriant. Cette pauvre enfant serait bien plus heureuse dans une toute autre famille. Ta mère arrive. Elle parle avec douceur à ta cadette avant de te jeter ce regard empli de haine. Ce n’est pas grave, tu as l’habitude. Tu n’as pas perdu ton sourire. Et pour une fois, ce matin là, tes lèvres se délient. “Grand-mère va mourir aujourd’hui.” Ta mère te fusille du regard. Elle te demande de te taire, d’arrêter de parler, tu effraies ta sœur. La concernée te regarde intensément. Tu ressens sa peine. Est-elle dirigée vers toi ou parce qu’elle est la seule dans cette maison à ne pas te prendre pour un fou ? Est-ce parce qu’elle te croit, qu’elle sait que votre grand-mère maternelle ne verra pas le prochain lever de soleil ? Vous êtes à l’école depuis quelques heures à peine qu’on vient vous chercher, ta sœur, tes frères et toi. Ta mère est là, dans le bureau du directeur, regardant avec amour chacun de ses enfants mais en t’évitant le plus possible. Tu sais pertinemment que ce soir, à l’abris des regards indiscrets, le revers de sa main va s’abattre lourdement sur ta joue. Et comme d’habitude, tu la laisseras t’insulter de fou, de Porte-Malheur de cette famille. Et comme d’habitude, tu la laisseras faire. Aujourd’hui. Le temps. En voilà une drôle de chose. S’écoule-t-il de la même façon dans les rêves que dans la réalité ? Tu ne sais plus. Mais tu sais que tu es en train de dormir. Tu rêves. Tes pieds savent où marcher. Tu arrives facilement jusqu’à cet immense arbre. Tu entends des murmures. Quelque chose se frotte à ton pied droit. Tu ne perçois que la queue d’un immense serpent qui va se nicher dans les racines de l’arbre. Tu regardes autour de toi alors que tu penses entendre ton prénom avant qu’il ne soit réellement prononcé. Tu reportes ton attention aux racines de l’arbre. Deux yeux reptiliens te fixent. Tu n’as pas peur. Une silhouette voilée aux formes féminines se mêle à ce serpent. Ne sont-ils qu’une seule et même entité ? De nouveau, tu entends des paroles avant qu’elles ne soient dites. Ou peut-être hier ? Ou est-ce demain ? C’est une douce voix. Elle est froide et pourtant, elle te réchauffe le coeur. Le serpent s’approche de toi. Une main drapée se tend face à toi. “Ivar… Accepte ton Destin.” Les doigts de la main s’écartent. De l’eau glacée se déverse sur toi. Elle réchauffe ton âme, comme si elle pansait tes plaies. “Accepte-Le et vis.” Lorsque l’eau coule sur tes yeux, tu ressens une douleur dans le cou. Comme la morsure d’un serpent. Et tu vois. Tu vois ce qui est à venir. Tu sais que si tu restes là, ce soir, c’est toi qui va mourir. Tué sous les coups de ton père. “Vis, Ivar. Vis pour toi. Vis pour moi. Vis pour ce qui est à venir, Ivar.” Et tu te réveilles en sursaut. Les yeux du serpent s’effacent peu à peu alors que la lumière dans le couloir s’allume. Il arrive. Mais tu sais. Alors tu fuis. Tu fuis pour vivre, comme Elle te l’a demandé. Parce que tu sais. | derrière l'écran clair Quel âge as-tu ? 23 ans Comment es-tu arrivé jusqu'à nous ? Via fb et la fonda Comment trouves-tu notre forum ? je le trouve très beau ! A quelle fréquence penses-tu nous rendre visite ? au moins une heure par jour. Un petit mot pour la fin ? qui veut des cours particuliers avec tonton Ivar?... |
he carved the two halves into horns.
La vie peut parfois être joueuse. Tu l'as rapidement compris.
Troisième garçon né après les deux premiers. Ton père en était ravi. Jusqu'à ce que tu visses le jour. “Il est trop chétif. Il vaut mieux qu'il ne passe pas la fin de l'hiver.” Peut-être que ce fut à ce moment que ta mère se mit à te haïr. Tu ne le sauras jamais.
A la grande déception de ton père, tu as passé ta première année de vie. Puis la deuxième. Puis la troisième. Et ainsi de suite… Bouc émissaire de tes frères dès que tu sus marcher à quatre pattes, la brutalité subie était habituel pour toi. Ta mère ne faisait pas grand chose pour arranger la chose. Et quelques années plus tard, le ventre de la maîtresse de maison s'arrondissait. Ton paternel la regardait durement. Il était hors de question qu'elle n'engrosse un second enfant comme Ivar.
Vint alors la fin de la gestation. Pour la première fois de ta petite vie, une chaleur envahissait tout ton ventre. Ta petite sœur venait de naître. Elle était la plus belle chose vivante sur cette terre. Et grâce à sa venue, on te laissa quelque peu tranquille, préférant se concentrer sur ce petit ange.
Tu as dû apprendre très rapidement qu’il valait mieux se taire chez les Strømson. Surtout lorsque l’on fait des rêves qui prédisent la mort de quelqu’un dans son entourage… A peine étais-tu adolescent que tu étais déjà considéré comme la bête noire de la famille. Mais ce n’était qu’une question d’habitude. Toi, tu l’avais, l’habitude. Depuis tes huit ans, tu étais montré du doigt par ta famille mais aussi par les autres. Ta plus grande prouesse fut de savoir t’effacer aux yeux de tous. Mais parfois, tu refaisais surface à leurs yeux et le dos d’une main venait s’abattre sur ta joue. Trop fragile, trop chétif, trop curieux. Une seule fois. Tu n’avais osé qu’une seule fois poser une question à ce père si peu aimant. Pourquoi est-ce qu’il était rentré avec ses vêtements couverts de sang ? Derrière le nuage de fumée de son cigare, tu avais dangereusement frissonné de peur lorsque tu avais senti son regard froid et dur te toiser. Son unique réponse fut son ceinturon sur tes côtes. Ce fut ce jour où tu compris que parler devait être un acte réfléchi et utile.
Ton adolescence fut bien triste et solitaire. Seule ta cadette arrivait à illuminer ta vie. Mais aujourd’hui, tu te refuses de penser à ton passé. Tu seras éternellement reconnaissant auprès de Skuld d’avoir fait de toi son élu. Grâce à elle, tu as pu fuir cet univers qui n’était pas le tien. Cet univers où tu aurais fini tué étranglé par ton propre père mafieux, écourtant ainsi ta vie. Tu t’en es souvent voulu de laisser ton rayon de soleil dans cette famille hypocrite. Mais ta cadette est tant aimée, tant parfaite que jamais ils ne pourraient lui faire de mal. Et s’ils osaient… Ta vengeance serait terrible.
Skuld t’a sauvé de la mort.
Skuld t’a fait voir en rêve la grille de cette école.
Skuld t’a donné la vie.
Tu es arrivé à Teiwaz Othalaz un peu plus tard que les autres, ayant dix-huit ans. Tu étais déjà tatoué et percé, froid et taciturne. Tu as passé ta première année plongé dans les livres. Malgré tes années de retard, tu t’es rapidement démarqué des autres en cours de potions et en divination, bien que les autres matières te plaisaient toutes. Très studieux, tu es resté seul un long moment. Les années d’études sont passées. Tu as réussi à te faire quelques amis, te découvrant la capacité d’apprécier les gens et même de vouloir les protéger. Mais tu as aussi découvert que les sentiments amoureux, tu n’es pas capable de les comprendre. Tu as brisé de nombreux cœurs sans réellement le savoir, préférant simplement le corps de l’autre ou juste débattre ensemble. Une personne instruite te faisait, déjà à l’époque, ressentir bien plus de choses qu’un corps nu ou une déclaration d’amour.
Tes années à l’école ont été douces et agréables. Tu aimais tant vivre entre ta chambre et la bibliothèque. Bibliothèque que tu as fini par connaître par cœur, dans ses moindres recoins. Tu as poussé tes études jusqu’au bachelor, choisissant le cursus divination et mythologie, le validant assez facilement. Durant ta dernière année, tu as eu de longues discussions avec le corps enseignant. Nombreux d’entre eux voulaient te voir devenir un grand sorcier pratiquant la divination comme personne. Tu étais doué, vraiment. Mais tu n’as jamais cherché à atteindre la gloire ou la grandeur. Quelle ne fut la déception dans leur regard lorsqu’ils apprirent que tu avais postuler pour remplacer l’ancienne bibliothécaire qui souhaitaient partir à la retraite… Pourtant, ils ont accepté et à la prochaine rentrée, tu serais le prochain détenteur des clefs de ce lieu si sacré à tes yeux…
Aujourd’hui, tu sais toujours que la vie peut être joueuse.
Aujourd’hui, tu ne penses plus jamais à ton passé. Ta vie a commencé le jour où Sklud t’a choisi et t’a guidé jusqu’ici.
Aujourd’hui, ton présent et ton futur seront à tout jamais Teiwaz Othalaz et sa bibliothèque.
Aujourd’hui, tu continues de te sentir parfois seul, mais tu n’échangerais ta place contre rien au monde.
- Rencontre avec Fremtid:
- Ce matin est le dernier que tu vis en tant qu’élève à Teiwaz Othalaz. La remise des diplômes est à onze heures. Le soleil doux du début de l’été réchauffe ta chambre. Tu dors paisiblement jusqu’à ce que tu sentes un poids sur tes jambes. Tout en douceur, tu sors de ton sommeil. Tu te redresses juste un peu alors que tes yeux clairs se retrouvent nez à nez avec deux yeux reptiliens foncés. Tu ne ressens aucune peur, au contraire. Un léger sourire étire tes lèvres. Tu as déjà vu ce regard. Tu tends les doigts vers la bête sauvage. Le serpent est fin et long. Tu penses reconnaître sa race. C’est un mamba noir. Ses écailles sont d’un noir profond. Enroulé sur ta couette, tu déduis qu’il doit mesurer dans les deux mètres.
Le reptile s’approche de ta main tendue en sifflant et ondulant doucement. Sans te quitter une seule fois du regard, il vient s’enrouler lentement autour de ton bras. La pression qu’il exerce sur ta peau te la fait blanchir. Tu devines que s’il le voulait, il pourrait facilement t’étouffer. Mais pas une seule fois tu te sens en danger avec lui.
Ton sourire s’agrandit alors que sa tête est à hauteur de la tienne. Ta main libre vient doucement effleurer ses écailles. “Je suppose que c’est elle qui t’envoie… Tu as un nom ?” Un léger frisson vient courir le long de ton épine dorsale, te donnant la chair de poule. Comme dans ton rêve, la première fois que Skuld t’est apparu, tu entends une voix dans ta tête avant qu’elle ne soit réellement dite. “Fremtid.” Tu hoches la tête, un peu amusé. Dans ta langue maternelle, son nom veut dire “Avenir”. Skuld aurait donc de l’humour ?☽◯☾
Il n’y a aucun bruit dans la bibliothèque. Une odeur de vieux livres et de thé chaud enivre la pièce calme. Assis à ton bureau alors que le soleil se lève, tes yeux parcourent un livre sur les plantes médicinales lorsque tu sens quelque chose caresser tes jambes. Tu n’as pas besoin de regarder ce que c’est. Tu ne détaches pas le regard de ton livre alors que tu viens laisser pendre ta main le long de ton corps. Quelque chose de tiède et doux vient se loger dans le creux de tes doigts. “Bonjour Fremtid. Te voilà bien matinal aujourd’hui.” Le long serpent vient s’enrouler sur la partie du bureau que tu lui as aménagé. Mécontent que tu ne lui portes guère plus d’attention, le mamba te siffle dessus avant de venir pincer ton poignet. Il n’y a pas à dire, même après cinq années passées ensemble sans plus se quitter, le serpent continue d’avoir ses humeurs. Mais pour rien au monde vous ne vous quitteriez.
- Alianova T. Ó'MurchùPetit nouveau
- Messages : 7
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
Bienvenue par ici. Je ne redis pas combien jaime ton avatar et combien j'exige ( oui oui j'exige carrément ) un lien !
Bon courage pour le reste de la fiche. Jadore déjà énormément le début !
- TímameistariPNJ
- Messages : 162
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
Et bienvenue à toi J'ai vraiment hâte de voir le reste de ton personnage, le début me plait déjà beaucoup Puis on pourra très sans doute se trouver un petit lien héhé Courage pour le reste de ta fiche !
- InvitéInvité
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
- Ivar StrømsonBibliothécaire
- Messages : 49
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
Tu en auras si tu es sage.Alianova T. Ó'Murchù a écrit:Moi j'veux bien les cours particuliers !
Et pour un lien, of curse que tu pourras en avoir un, héhé.
J'espère que mon perso te plaira. :3 En tout cas, je ne serai pas contre un lien avec madame la directrice !Isadora A. E. Màthair a écrit:Puis on pourra très sans doute se trouver un petit lien héhé
Merci toi! :3Bryan Montgomery a écrit:Coucou bon courage pour ta fiche et bienvenue c:
- TímameistariPNJ
- Messages : 162
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
Tout se passe bien ?
- Ivar StrømsonBibliothécaire
- Messages : 49
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
olala je suis taaaant désolée! merci de cette si grande patience que vous avez eu pour la durée de l'écriture de ma fiche je me dépêche de la finir !
- TímameistariPNJ
- Messages : 162
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
- Ivar StrømsonBibliothécaire
- Messages : 49
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
MA FICHE EST FINIE !
- TímameistariPNJ
- Messages : 162
Re: the universe I know left me in pieces ▼ ivar
Validation par Isadora A. E. Màthair
Le 01.10.2019
De Ivar Strømson
Félicitations
Bonjour jeune homme et bienvenue de manière tout à fait officielle
Dans quelques instants, je vais t'ajouter aux différents groupes pour que tu puisses te joindre à nous dans ce merveilleux monde !
En tout cas, je suis vraiment heureuse de voir cette fiche terminée et de voir ton personnage franchir les portes de Teiwaz Othalaz avec ce magnifique mamba noir, j'ai vraiment vraiment hâte de vous voir évoluer
Pour la fiche et bien que dire que dire... J'ai beaucoup apprécié ta manière de narrer à la seconde personne, j'admire toujours les gens qui font ça C'est agréable à lire, très fluide et très bien écrit. C'est une histoire bien tragique qu'a vécu ton personnage, je suis contente qu'il ait trouvé refuge à TO, et j'espère qu'il y restera longtemps
Je t'invite donc à venir faire les différentes boîtes qui t'aideront à la gestion de ton personnage.
+ La boîte à RP
+ Les liens
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